Reprendre Le Fil De LHistoire (Le Photocopieur)
Salut à tous. Cest Bob. Je vous écris ce nouveau récit en me demandant si je devais vous faire part de toutes ces histoires anciennes excitantes à la fois que ma chérie mévoqua peu avant ou après notre rupture plus récemment.
Virginie fréquentait en effet à lépoque Olivier qui avait été son premier amant régulier. En vérité, je ne lui en connais pas dautres aussi longtemps. Peut-être Phil, et encore !
Avec Olivier, Virginie avait connu une sorte damour à trois où elle vivait dans ses bras une seconde envie que je ne lui donnais pas. Je crois que jai mis du temps à comprendre, mais il me semble quelle trouvait dans ses bras ce quelle ne trouvait pas avec moi. En réalité, cest compliqué. Notre union sexuelle était parfaite. Nous battions des records de position, de temps et de lieux insolites.
Olivier (ce salaud) lui avait pourtant proposé plus que je ne pouvais espérer et proposer moi-même à ma chérie : un gang-bang magistralement organisé chez elle à mes dépends. La belle était parfaitement au courant de son arrivée huit jours avant et sétait bien gardée de men parler. Elle savait quil viendrait avec les deux autres illuminés de sa classe et tous passeront une après-midi magistrale. Dans le lit de sa mère qui plus est !
Olivier sétait amouraché de Virginie. Il la trouvait belle, séduisante malgré ses airs timides et de sainte nitouche.
Cest que ma chérie, aussi surprenant que cela puisse être, nétait à lépoque pas du genre à courir la gueuse. Les garçons étaient encore pour elle un grand mystère. Certes, elle venait davoir son expérience avec Bruno mais cétait déjà fini et cela navait pas duré plus de trois mois.
Non, Olivier était autre chose. Ma belle le rencontrait presque chaque jour pendant longtemps dans son nouveau travail chez « Import and Co », pendant un an. Dans les locaux de lentreprise, elle meut dit quOlivier avait abusée delle et quil lavait prise sur la photocopieuse :
- « Tu étais consentante au moins ? » lui demandais-je.
- « Oui, jétais consentante. Mais il ma prise à un moment où je ne my attendais pas » me répondit Virginie.
Lhomme lavait prise jusquà la soulever sur la photocopieuse et avait par mégarde enclenché la machine en appuyant sur quelques boutons inopinément. Virginie en fut surprise. Elle avait les fesses nues sur le photocopieur. Olivier sen amusa et relança ouvertement cette fois-ci une impression. Il matait les fesses de ma copine en photocopies. Le salaud !
- « Tiens, celle-là, je la garde ! » eut dit Olivier à ma dulcinée.
- « Non rends-là moi, tes fou ? si quelquun sen rend compte », lâcha Virginie en tentant de le lui reprendre.
- « Jai trop envie de te prendre là sur le photocopieur », renchérit Olivier.
Sur ces paroles Olivier retourna ma chérie la face contre le photocopieur. Il baissa son futal et releva la jupe de ma chérie qui était en fait une robe ce jour-là.
Lhomme se mit à genoux puis il saccroupit devant les fesses de ma belle quil mordait pour de faux à pleine dents :
- « Je vais te croquer », dit-il. « Je vais te dévorer ».
- « Non pas maintenant » répondit ma belle. « Si quelquun nous voit ? »
- « Quoi ? Là ? il ny a plus personne. Il est 18h00. Tout le monde est parti », précisa Olivier.
Sur ces dernières paroles dOlivier, la belle se laissa faire. Olivier la caressa un certain temps dans cette position puis entreprit de lui mettre un doigt ou deux dans sa fente humide :
- « Humm, que cest large là-dedans, il y a lair davoir beaucoup de place ? » renchérit Olivier
Le mec tripotait ma meuf comme si elle était sa chose. Virginie le laissait faire. Mieux, elle se laissait faire !
Soudain, il la retourna pour quelle se pencha en avant vers lui. Il agrippa les seins qui étaient déjà à demi découverts et fit saccroupir ma belle devant lui. Virginie ne se fit pas prier et je sais quelle démarre au quart de tour chaque fois que je lui fais la même chose.
Olivier donc enfourna son sexe dans la bouche de ma belle. Jai envie de dire quelle salope mais par respect pour elle je ne pourrais pas dire ça. Avec le temps, je me suis fais à lidée que ma belle pouvait avoir des envies sexuelles elle aussi et que tout cela ne devait pas être réservé à la gente masculine. La belle confirma mes pensées en me disant :
- « Oui. On nest plus au XVIIIème siècle ! »
Jacquiesçait bon gré mal gré ses propos, de bien suivre le mouvement si je voulais la garder. Ma belle avait des amants mais elle naimait que moi ou presque. Jétais son favori, celui avec qui elle se voyait bien faire sa vie. Bon, la vie nous a séparé et puis elle est revenue. Dix ans après ! Qui pouvait se douter de cela.
De ces dix ans, je ne retiens rien, si ce nest tout ce quelle ma raconté à son retour et qui est un véritable roman. Je raconterais certainement tout cela dans un prochain récit ou plusieurs car il y a matière.
La fin de sa relation avec Olivier ? Pas tout de suite. Après leur incartade dans le local photocopieur, ma belle et plus tard Olivier se sont fait convoqués dans le bureau du directeur. Lhomme, je ne sais comment eut vent de la relation de ma belle avec son amant dans le local. Comme quoi, il ne faut pas coucher au travail car tout se sait. Dans son bureau, au moment de la convocation, ma chérie a vu une copie de ses fesses passées sur la photocopieuse. « Mais doù a-t-il bien pu avoir ça ? » songea ma chérie. La fin de lhistoire, cest que ma chérie eut un blâme et Olivier
rien ! Après tout, lui navait pas laissé ses fesses sur le photocopieur.
Leur relation dura encore quelques mois après cela, jusquau jour où Virginie fut chargée par son entreprise dorganiser un séminaire dans un château de lOise pour tout le personnel de la société qui devait venir de toutes les différentes agences de France.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!